Sur la place du marché un jour à la nuit tombante, j'ai regardé le potier battre son argile humide. Tout bas, l'argile disait au potier qui la pétrissait : "considère que j'ai été comme toi... ne me brutalise pas".
Qu'on nomme utile ce qui répond aux nécessités de notre vie matérielle, j'y consens. Pour moi, j'appelle utile tout ce qui donne le bonheur ; or, il n'y a rien au monde qui nous rende plus heureux que la contemplation et le rêve. C'est ce qu'on oublie de nos jours.
Que l’on fasse des tableaux, des pots ou des sabots, on à tôt fait de savoir quelle nécessité vous pousse, si c’est le plaisir d’offrir, de s’offrir, ou l’obligation de montrer ou de se montrer : c’est là toute la nuance ou l’on apprécie le véritable créateur, artiste ou artisan, peu importe.
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